Un décret du jeune gouvernement de la IIe République réduit d’une heure la journée de travail parce que, selon ses termes, « un travail manuel trop prolongé non seulement ruine la santé mais en l’empêchant de cultiver son intelligence porte atteinte à la dignité de l’homme ».
La journée de travail tombe à… dix heures à Paris et à onze en province (serait-ce que le travail est plus éprouvant à Paris qu’ailleurs ?)