Mercredi 7 avril c’est la “Bio” !

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Il y a trop longtemps que nous ne nous sommes pas vus ! Ce sera chose faite ce mercredi 7 avril à 20 h 30 pour suivre les exposés des 2 Chantal, un portera sur les Végétaux et le second sur les Echinodermes. Tout un programme avec de belles photos et des anecdotes en plongée vous attendent.

Vous n’êtes jamais venu aux soirées “Bio” mais vous souhaitez assister à la visioconférence. Rien de plus simple, envoyez un mail à : bio@hgcconflans.com et vous recevrez le lien et les instructions de connexion en retour.

A mercredi

Chantal 

 

Le 04 avril 1791.

L’Assemblée constituante décide, par un décret, d’utiliser l’édifice qui vient d’être achevé sur la montagne Sainte-Geneviève, afin qu’il serve de nécropole aux personnalités exceptionnelles qui contribueront à la grandeur de la France.
Décret qui se termine par « aux grands hommes la patrie reconnaissante » (cette dédicace fut ensuite inscrite sur le fronton du bâtiment).
L’Église Sainte-Geneviève devient le Panthéon, honorant ceux qui ont marqué l’histoire de France.

Le 03 avril 1862.

Les deux premiers tomes d’un roman promis à un succès exceptionnel sortent en librairie :
Les Misérables.
L’auteur est un proscrit à barbe blanche, qui, de son exil de Guernesey, n’en finit pas de lancer des philippiques à l’encontre de l’empereur Napoléon III, alors à l’apogée de son règne.
Mais comme l’empereur lui-même, comme beaucoup de ses contemporains, Victor Hugo se montre dans les années 1850-1860 très sensible au sort des humbles et à la condition ouvrière.
Les Misérables lui valent une popularité dans tous les pays et toutes les classes sociales.
On dit que des ouvriers se cotisent pour acheter l’œuvre et se la passer de main en main…

Le 02 avril 1896.

Armand Peugeot crée la société SAAP : Société Anonyme des Automobiles Peugeot.
Il est issu d’une famille d’industriels du département du Doubs spécialisée dans la fabrication de moulins à café, de lames de scie, d’outils etc.
Il succéda à son père et son oncle à la tête de l’entreprise familiale avec son cousin Eugène.
Robert Peugeot (1873-1945) écrira en février 1938 : « Lorsque mon oncle, Monsieur Armand Peugeot, décidait de consacrer une partie de ses usines à la fabrication des automobiles…il apercevait déjà avec une admirable prescience, les immenses possibilités du nouveau mode de locomotion dont la maison Peugeot allait doter notre civilisation moderne. Loin d’en vouloir limiter l’usage à une clientèle de luxe restreinte, il en pressentait les multiples adaptations à toutes les classes de la Société, à toutes les professions, à tous les usages »